Et oui, déjà trois mois de passés et un nouveau pré-atlas est disponible sur cette page !
Avec plus de 4300 données supplémentaires, nous sommes dans la moyenne des trimestres mais il semble que la progression soit assez significative lorsqu'on examine la carte du nombre d'espèces par carré. Le nombre de carrés avec 30 espèces minimum a progressé de plus de 5% (de 120 il est passé à 136). Rappelons que la progression a été de 20% durant l'année 2015. Même chose pour le nombre de carrés avec au moins 20 espèces, il fait un bon de 4% passant de 246 à 260.
Examinons maintenant les 4 groupes pour vérifier si cette progression est uniforme :
Les 10 espèces les plus communes :
Avec 72% des carrés à au moins 9 espèces, nous ne sommes pas très loin du challenge de 75% ciblé pour la fin de l'année 2015 et surtout, avec une progression de 4%, nous ne sommes pas loin de l'explication pour la bonne progression des 3 mois. Avec 50% des carrés à 10 espèces, la carte est de plus en plus bleue foncée et ce n'est probablement par terminé.
Les Chiroptères (21 taxons) :
Dans ce groupe, on note une légère progression pour les carrés avec au moins 10 espèces. Idem pour ceux avec au moins 6 espèces. Ce n'est pas ce groupe qui donne un coup de fouet sur la progression générale. Espérons que les détecteurs seront au rendez-vous dans les 3 prochains mois.
Les micro-mammifères (20 taxons) :
C'est un groupe où nous attendons des progrès mais, force est de constater que ce n'est pas flagrant sur la carte du nombre d'espèces par carré. Pourtant, le nombre de carrés avec au moins 10 espèces progresse de 10% et effectivement, le nombre de carrés vide baisse de 5% et le nombre de carrés avec au moins 100 proies augmente de 6%. Il y a donc un frémissement sur ce groupe mais il reste un travail immense à réaliser. Rappelons que nous visons 300 proies par carré alors que seulement 35% sont à au moins 100 proies.
Les autres espèces (13 taxons) :
Pas de différence énorme sur ce groupe. La progression générale ne vient pas de ces taxons.
Il est donc probable que la bonne progression générale soit essentiellement à attribuer aux espèces communes et, dans une moindre mesure, à de nouvelles collectes de pelotes de réjection.
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